« Dans son ouvrage ” Riches et influentes. La puissance de la pensée féminine ” (Aska Editions, 2015), l’Américaine Sharon Lechter, auteur, entrepreneuse et conseillère en littérature financière à la Maison Blanche, livre ses secrets.»
Sa conviction ? “Même si je crois que les étapes spécifiques qui mènent à la richesse et au succès sont les mêmes pour les femmes que pour les hommes, en tant que femme, je crois que nous approchons ces principes avec des croyances, des attitudes, des forces et des faiblesses fondamentalement différentes”. Parmi ces faiblesses figure le manque de confiance en soi.
1. Désirer ardemment
Il faut un objectif précis et un plan d’action pour réussir. La raison numéro un pour laquelle les femmes quittent leur emploi est parce qu’elles sentent que leur travail est sous-évalué et que leurs points forts sont méconnus.” Par ailleurs, “elles désirent de l’argent pour ce qu’elles peuvent en faire, et non pas seulement pour l’argent lui-même.”
2. Savoir s’entourer : la force du collectif, « constituer une équipe de personnes qui travaillera avec vous, afin que la connaissance puisse être obtenue plus rapidement et qu’elle vous permettre d’atteindre votre but précis.” L’avantage est double : cela permet de bénéficier de l’expérience et des qualités de ces personnes mais aussi de la force d’un troisième esprit né de ce rassemblement. “En résumé, vous n’êtes pas obligée de tout faire ! En tant que femmes, nous sommes de grandes collaboratrices. Trouvez un modèle, des mentors et des membres d’équipe susceptibles de vous propulser vers l’avant. Commencez par décider que vous le valez bien.”
3. Déculpabiliser
Trouver un équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle. Il en est toujours plus question pour les hommes que pour les femmes, traditionnellement dévolues à s’occuper de la maison et des enfants en plus de leur carrière. “Des millions de femmes sont tourmentées par la culpabilité et la frustration de ne pas pouvoir atteindre la définition de “l’équilibre”…devoir trouver un équilibre est une “opinion habituellement répandue” à combattre parce qu’elle crée de la culpabilité et de l’inquiétude qui est un poison.