Un sondage du réseau Créafil, regroupant 194 réponses, dont 60% émanaient de techniciens de l’accompagnement et 25% de techniciens des collectivités locales.
Tout d’abord les atouts exprimés :
En premier lieu, une connaissance améliorée des opérateurs, et des services que chacun apporte ; en second, une amélioration pour les créateurs (parcours plus facile, amélioration de la lisibilité, meilleur accès pour tous), mais cette amélioration porte moins sur l’anticipation des besoins ou l’accès au financement ; enfin un atout tout aussi important pour les territoires en ce qui concerne le maillage des opérateurs et l’amélioration des réponses aux besoins des territoires, sans toutefois contribuer nettement à l’attractivité du territoire, ou à améliorer l’optimisation des moyens.
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Classement par ordre décroissant des réponses « tout à fait »
Oui
Dont tout à fait
Non
LES ATOUTS pour les opérateurs
La connaissance mutuelle de leurs services respectifs pour les opérateurs
87
47
10
L’enrichissement mutuel (co-construction de prestations, etc.)
79
30
20
LES ATOUTS pour les porteurs de projet/créateurs
L’amélioration du parcours
80
25
20
La lisibilité des prestations mobilisables à chaque phase de la création
74
28
24
Un meilleur accès à la création d’entreprise pour tout type de public
66
22
31
L’amélioration de l’anticipation des besoins des créateurs
59
14
39
Une amélioration du financement des jeunes entreprises
44
10
54
LES ATOUTS pour les territoires
Un meilleur maillage par les opérateurs
85
44
15
Une amélioration des réponses aux besoins des territoires
69
13
29
L’attractivité du territoire
56
16
43
Une économie/optimisation des moyens
52
10
47
Les freins ne tiennent pas à d’abord l’implication dans le projet, mais à un manque de moyens pour bien le conduire. Noter toutefois que 27% ont constaté un désengagement d’acteurs et 15% une perte de sens (« tout à fait ») ; l’essoufflement est par contre important ; la région, est par ailleurs perçue très majoritairement comme un levier pour cette action qu’elle a voulue.
Noter aussi que les moyens consacrés sont estimés très insuffisants ; la complexité du projet (tant dans l’animation que sur le découpage territorial) éclaire les freins qui viennent d’être décrits.
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Classement par ordre décroissant des réponses « tout à fait »
Oui
Dont tout à fait
Non
FREINS quant à l’implication dans le projet
La perte de sens
43
15
55
Le désengagement de certains acteurs
62
27
36
L’essoufflement
71
27
27
FREINS quant aux moyens consacrés au projet
L’investissement demandé en temps (réunions, etc.)
83
52
16
Le manque de moyens financiers
73
37
25
Le manque de moyens humains
65
29
31
FREINS inhérents au type d’action
La complexité de l’animation
76
37
24
Les périmètres d’intervention des réseaux territoriaux
59
30
40
Les très fortes attentes exprimées confortent le grand intérêt porté au projet, sans en changer les lignes directrices et la forte implication des acteurs pour cette action et pour les créateurs d’entreprise.
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Classement par ordre décroissant des réponses « tout à fait »
Oui
Dont tout à fait
Non
En direction de la dynamique de création
Une optimisation du parcours créateur
93
75
15
Des réponses plus adaptées aux besoins des créateurs et des territoires
88
63
9
Une augmentation du nombre de projets de création financés et accompagnés
72
46
26
Une amélioration de la pérennité à 5 ans des entreprises
73
45
23
Un plus grand dynamisme entrepreneurial
71
41
27
En direction du réseau et des territoires
Une meilleure articulation des prestations entre opérateurs
95
69
4
Une amélioration de la circulation des flux de créateurs entre opérateurs (du 1er contact au financement et autres services disponibles)
89
60
8
Un renforcement des échanges entre collectivités et opérateurs de l’accompagnement
84
48
13