16% des 18-30 ans disent avoir créé ou repris une entreprise.


"Aujourd’hui, 1 jeune Français sur 2 rêve de créer son entreprise… mais les difficultés pour franchir le cap persistent" Opinion Way pour Wizbii, lu octobre 2018

Méthodologie : échantillon de 1502 personnes représentatif de la population française âgée de 18 à 30 ans, constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de catégorie socioprofessionnelle, de catégorie d’agglomération et de région de résidence. L’échantillon a été interrogé par questionnaire auto-administré en ligne sur système CAWI, d’une durée de 17 minutes en moyenne, entre  le 30 novembre et le 13 décembre 2017. Les résultats de ce sondage doivent être lus en tenant compte des marges d’incertitude : 1,5 à  3 points au plus pour un échantillon de 1000 répondants.

Avec 2 millions de membres, Wizbii est la 1ère plateforme professionnelle pour l’emploi et l’entrepreneuriat des jeunes. Jobs, stages, alternances, mais aussi un ensemble de services à forte valeur ajoutée sont disponibles pour accompagner les 18-30 ans dans le lancement de leur carrière. En 2017, 1 jeune Français sur 3 a utilisé le service Wizbii et 40 000 emplois ont été pourvus.

 

Hors le chiffrement de ceux qui ont crée ou repris, l’étude n’apporte pas d’éléments nouveaux.

 

11% disent avoir crée et 5% repris une entreprises, soit au total 16%, davantage chez les diplômés du supérieur (19 à 20%), contre 14% pour les niveaux bac ou inférieurs.

 

Sur les 84% restant, 18% ont l’intention ferme de créer (13%) ou reprendre (5%); 34% en ont l’intention mais ne savent pas encore quel projet ils mettront en œuvre, soit 52% (58% les étudiants, 51% les jeunes actifs et 44% les inactifs).

 

Ceux qui ne souhaitent pas créer ou reprendre mettent en avant au même niveau (28 à 32%) le fait que cela ne les intéresse pas, que c’est trop compliqué ou trop risqué, ou encore qu’ils ne s’en sentent pas capables, voire craignent de ne pas réunir les financements nécessaires. Les jeunes actifs majorent davantage ces items que les étudiants.

 

Le projet est jugé difficile pour les 152 répondants qui ont déjà essayé mais pour 20% tout s’est bien passé.

23% on rencontré des difficultés pour financer, 15% du fait de la complexité des démarches, 13% du fait de la solitude. 21% affirment manquer soit d’expérience, soit de formation, soit d’informations.

Ils mettent en avant la nécessite des connaissances administratives et juridiques, le besoin d’appuis des proches et d’un réseau professionnel