« L’incessante collecte de chiffres, indispensable au reporting, a participé à l’institution d’un mangement quantitatif, qui incite les salariés à passer plus de temps à se justifier qu’à innover… préférer l’autodirection permet à chaque salarié de développer son plein potentiel, grâce à plus d’autonomie, plus de responsabilité, plus de valorisation de soi… un environnement de courage et de confiance, qui autorise l’erreur et donc l’occasion d’apprendre, est une richesse. Le négliger, c’est rendre impossible la délégation, les retours fiables, le travail en réseau…. Mais s’affranchir tout azimuts de managers serait excessif : une direction, un pilotage stratégique, un accompagnement et un patron qui tranche sont nécessaires…La question est comment mieux travailler ensemble », dans un contexte où l’adaptation à son marché en mutation permanente, et l’accompagnement au changement sont les règles du jeu.