Archives mensuelles : avril 2016

Guides

“Aide-mémoire du créateur d’entreprise”, Inforeg, CCI Paris Ile-de-France, août 2015

“Guide des outils d’action économiques”, Conseil d’Etat, décembre 20015

“La finance participative”, La Finance pour tous, Institut pour l’Education Financiére du Public, non daté

“DÉCLARATION DES REVENUS 2015 : Brochure pratique 2016”, Direction Générale des Finances Publiques, non daté

“GUIDE PRATIQUE DU CRÉATEUR  : les étapes de la création de votre entreprise”, APCE, mars

“Le prêt à taux 0”, les mini-guides bancaires, Fédération Française Bancaire, mars

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Etudes et rapports non commentés

“LES RÉSEAUX DE L’ÉCONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE EN EUROPE”, note d’analyse de mars, Pour la Solidarité, European think&do tank 

“La pluriactivité dans le spectacle vivant, quels effets sur la précarité salariale ?”, Bref du CEREQ N°343, février

“CONJONCTURE DE L’EMPLOI ET DU CHÔMAGE AU 4e TRIMESTRE 2015, L’emploi augmente, le chômage recule légèrement”, Dares Indicateurs N°020, avril

“Portraits statistiques des métiers 1982 – 2014”, Dares, Synthése.stat N°19, mars

“PROSPECTIVE E-santé : faire émerger l’offre française en répondant aux besoins présents et futurs des acteurs de santé : rapport final”, DGE, 2016

“Analyses du positionnement international des professions libérales françaises”, études économiques de la DGE, avril

“Les hébergements collectifs touristiques en 2015 : la clientèle française est de retour”, le 4 pages de la DGE N°52, avril

“Mutations industrielles et évolution des compétences”, les Synthèses de La Fabrique, N° 5, avril 

“Les Finances des départements 2014” et “les finances des régions en 2014”, Collection Statistiques et finances locales (tableaux), MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L’AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE, DE LA RURALITÉ ET DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES, non daté

“Vers l’égalité réelle entre les femmes et les hommes: chiffres clés-édition 2016”, Ministère des familles, de l’enfance et des droits des femmes, non daté

“rapport d’activité 2015”, du Commissariat Général à l’investissement, non daté

“Entreprises et créations d’entreprises (personnes morales) début 2016”baromètre de l’Office Marocain de la Propriété Industrielle et Commerciale, non daté

“Actes du colloque : LE TRAVAIL DE DEMAIN SERA-T-IL ENTREPRENEURIAL ?”, Congrès international des études sur le travail et l’emploi, Travail&Emploi (Work and Employment) et université de Laval, juin 2015, Fondation de l’entrepreneurship et Institut de l’Entrepreneuriat

 

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2015, selon la FCGA, un léger mieux malgré une diminution du chiffre d’affaires

Méthodologie de  l’observatoire de la FCGA-Banque Populaire  

 

2015, un léger mieux : un indice moyen d’activité en recul – 1,7% en 2015, contre – 3,2% en 2014; sur les 11 secteurs étudiés, 6 améliorent relativement leurs performances en se contentant toutefois de diminuer le volume de leurs pertes, 5 enregistrent un chiffre d’affaires en baisse; toutefois, tous les secteurs analysés affichent des taux négatifs (entre – 0,2% et – 3,4 %); l’artisanat du bâtiment, locomotive économique des TPE, se redresse encore difficilement (- 2,7% contre – 7,5% en 2014)  

 

Le commerce de détail alimentaire concentre le plus grand nombre de professions qui présentent un chiffre d’affaires positif  : vins spiritueux +2,8%, fruits et légumes +2,5% poissonnerie + 1,4%, crèmerie + 0,4%; ajoutons, les magasins de meubles +3,7% (- 1,5% en 2014) et les agences immobilières +3,4% (- 9,4% en 2014).  

 

3 secteurs notamment enregistrent un chiffre d’affaires en recul ; vente & réparation auto – 2,8% (- 1,5% en 2014), transports – 2,6% (+ 0,3% en 2014), beauté esthétique – 0,4% (- 0,1% en 2014).

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Les structures d’insertion par l’activité économique sont majoritairement tournées vers le marché

Ce que sont les structures d’insertion : ACI =  dispositifs sans personnalité morale, le plus souvent en association conventionnée par l’État au profit de salariés en situation de travail pour créer ou développer des activités nouvelles d’utilité sociale à condition que ces emplois ne se substituent pas à des emplois privés ou publics existants; les biens et services produits peuvent être commercialisés mais les recettes doivent être généralement ≤ 30 % des charges liées à ces activités. EI = Entreprises du secteur marchand (SA, SARL, association, EURL, etc.) au profit de salariés participant à la production de biens ou de services destinés à être commercialisés sur un marché. AI =  Associations loi 1901 conventionnées par l’État au profit de salariés mis à disposition auprès de particuliers, associations, collectivités locales, entreprises, pour la réalisation de travaux occasionnels. ETTI = Entreprises de travail temporaire soumises à la réglementation afférente au profit de salariés mis à disposition auprès d’entreprises clientes dans le cadre de missions d’intérim.  

 

Le taux d’encadrement des salariés en insertion dans le secteur de l’insertion par l’activité économique est très variable selon les structures. Chaque permanent en charge de l’accompagnement dans les entreprises d’insertion et les ateliers et chantiers d’insertion suit entre 2 et 4 salariés contre 16 à 32 dans les associations intermédiaires et 6 à 10 dans les entreprises de travail temporaire d’insertion.

Cette différence résulte en partie de leurs activités : production pour les premières et mise à disposition auprès de clients pour les secondes. Les structures recourent à une multiplicité d’outils : désignation d’un référent (interne le plus souvent  (57 à 75% des structures), voire externe (11 à 19%), livret d’accueil (67 à 79%), entretiens de suivi, recueil des souhaits du salarié à l’entrée pour la construction de son projet professionnel (93 à 98%),  bilan professionnel (89 à 94%), atelier de remobilisation ou d’estime de soi (38 à 64%), fiche d’évaluation (79 à 90%), fréquence d’entretien (78 à 84%), binôme entre un salarié en cours d’insertion et un salarié expérimenté en fin de parcours (moyenne de 61%), mission avec horaire allégé, aménagement de poste, changement de poste (36 à 56%).  

 

La fréquence de l’accompagnement diffère selon les difficultés sociales rencontrées : problèmes administratifs et d’accès aux droits (83 à 91%), problèmes de mobilité (77 à 89%), de logement (66 à 83%), d’endettement (58 à 70%), d’illettrisme ou de difficulté à maîtriser le français (46 à 76%), problèmes familiaux tels garde d’enfants, rupture avec le milieu familial (43 à 58%), de santé (37 à 65%), d’alcool ou drogue (35 à 65%), de souffrance ou handicap psychologique (31 à 55%), de difficultés avec la justice (22 à 49%).  

 

Parallèlement aux actions d’accompagnement social et professionnel, les salariés en parcours d’insertion peuvent bénéficier de formations, notamment dans les ACI avec des formations généralistes de remise à niveau. Ces différentes structures ont majoritairement un plan de formation interne dont les salariés en insertion peuvent bénéficier (50% des cas pour les ACI,  jusqu’à 73% pour les ETTI).

Elles rencontrent toutes des difficultés pour mettre en oeuvre ces formations: le financement (en moyenne 78%), le refus ou la réticence du salarié (56%), l’insuffisance de formation à proximité (55%), les problèmes d’adéquation offre-besoin (36%), la durée trop courte des contrats (33%), la difficulté d’organiser le travail en l’absence du salarié (31%)….  

Les actions les plus répandues pour préparer la sortie sont : l’aide à la rédaction d’un CV actualisé, l’initiation aux techniques de recherche d’emploi, l’aide à la recherche effective d’un emploi auprès de partenaires ou d’entreprises hors IAE et l’aide au maintien du lien avec Pôle emploi, le bilan de fin de contrat en insertion, la délivrance d’un relevé de compétences acquises. 45% sont informés du devenir des personnes passées en insertion, notamment à l’initiative du personnel de la structure (59%), mais aussi de l’ex salarié (36%),  

 

Noter que les permanents de ces structures sont 78% d’un niveau bac +2 et au-delà, que 82% ont un titre professionnel en lien avec leur fonction; 49% y ont moins de 5 ans d’ancienneté dans la fonction, et 22%, 10 ans et plus.      

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Un meilleur accès au crédit de trésorerie au 1er trimestre pour les TPE

La Banque de France mène une enquête trimestrielle auprès d’entreprises sur leur accès au financement bancaire ; environ 4 000 PME et 500 ETI ont répondu, ainsi que 2 500 TPE grâce à un partenariat avec la Fédération des Centres de Gestion Agréés (FCGA)  

 

Au 1er trimestre 2016, pour les TPE,  la demande de crédit nouveau d’investissement est stable (11%); il en est de même pour accès au crédit (82% contre 81 à 84%); 85% disent avoir obtenu satisfaction en totalité ou à plus de 75% Si la demande de crédit de trésorerie est elle aussi stable (9% de demande nouvelle), l’accès s’est amélioré (68% contre 59 à 65% les 3 trimestres précédents).  

 

Ceci étant la situation est toujours plus favorable pour les PME : 23% ont sollicité des crédits d’investissement nouveau, 94% y ont eu accès ; idem pour les crédits de trésorerie (7% de demande) avec 83% d’accès.

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L’ADIE en 2015 : 18 070 personnes financées (+23% au regard de 2013)

18 070 personnes ont été financées en 2015 dont 14 501 via le microcrédit professionnel (11 700 emplois crées et 6 000 maintenus) et 3 569 via le microcrédit  salarié (2 500 emplois). Elles étaient 14 646 en 2013 (12 339 en crédit professionnel et 2 307 en crédit personnel).  

 

Un encours de 104M€ fin 2015 et 65M€ versés en cours d’année (+10% par rapport à 2014) soit en moyenne 3 692€ par prêt, 1 652€ en micro-assurances souscrites et 2 400€ pour le crédit salarié, avec 6,8% d’impayé et 3,2% de pertes. Noter que ces microcrédits sont complétés pour 3 700 bénéficiaire d’un prêt d’honneur de 1 800€ en moyenne (une encours de 20M€).

 

 La croissance de l’activité de micro-assurance a progressé de 15% avec 1652 nouveaux contrats souscrits; en moyenne 1/4 des entrants à l’ADIE;  fin 2015, on comptait 3 150 contrats actifs pour plus de 3 000 clients assurés (en progression de 26%), en partenariat avec Axa et Macif.  

 

Les prêts sont financés à 42% par des fonds du secteur bancaire coopératif et mutualiste, à 34% par des banques privées, à 11% par des institutions financières publiques et à 8% par de l’épargne salariale. L’Adie bénéficie, pour son activité de microcrédits professionnels inférieurs à 6 000€, de la garantie du Fonds de garantie pour les structures de l’insertion par l’économique, de celle des banques pour une quote-part des lignes de crédit et  pour les  microcrédits professionnels de montant supérieur à 6 000€ de la garantie portée par le Fonds Européen d’Investissement; pour l’activité de microcrédits personnels pour l’emploi salarié, Le Fonds de cohésion sociale, géré par la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), apporte sa garantie depuis 2010. Les prêts d’honneur sont financés pour moitié par le secteur public (collectivités locales, CDC…),  

 

Par ailleurs, L’ADIE dans sa collecte de dons via le fonds “Mécene ADIE pour l’emploi” a financé en 2015 prés de 900 000€ pour les actions d’accompagnement (28% à destination des jeunes, 16% pour la micro franchise solidaire, 15,5% pour les femmes), soit 12% du financement de son fonctionnement; le public a contribué pour 63% (Europe 23%, régions 21%, établissements publics 21%, état 14%, départements 13%, communes 7%) et les produits financiers 25%.  

 

37% des personnes financées perçoivent les minima sociaux (34% le RSA), contre 5,5% de l’ensemble des créateurs classiques et 9,3% des autoentrepreneurs; 45% vivent en deçà du seuil de pauvreté (14% dans la population française); 20% vivent dans un quartier politique de la ville (7% de la population française), 20% sont en milieu rural et 4% sont des itinérants. 27% n’ont aucun diplôme (12% pour l’ensemble des créateurs), 34% le CAP/BEP,  21% le secondaire, 11% le bac et 12% un diplôme de l’enseignement supérieur. 23% ont moins de 30 ans, 32% de 30 à 39 ans, 25% de 40 à 49 ans et 20% 50 ans et plus. Depuis 2007, l’Adie propose le dispositif CréaJeunes (une formation dédiée aux 18 à 32 ans souhaitant créer leur entreprise, assorti d’un tutorat); 1 092 jeunes ont ainsi été accompagnés sur 20 sites en 2015. 41% sont des femmes (plus que pour l’ensemble des créateurs).  

 

40% ont choisi autoentrepreneuriat (AE), 26% l’entreprise individuelle hors AE, 10% la SARL ou EURL.

 

70% de pérennité après 2 ans et 59% après 3 ans; 84% des personnes financées sont insérées. 94% des personnes financées affichent leur satisfaction pour les services de l’ADIE. 38% exercent dans le commerce (dont 17% le commerce ambulant), 25% dans le services, 9% dans les HCR, 8% dans le bâtiment, 4% dans les transports.  

 

Avec la micro-franchise solidaire, l’Adie propose aux personnes n’ayant pas accès au crédit, désireuses de créer leur propre emploi, mais qui n’osent pas se lancer seules, une activité « clé en main », à développer au sein d’un réseau professionnel (coopérative de chauffeurs indépendants, prestations de jardinage aux particuliers, Mon Coursier de Quartier)  ; ce nouveau modèle d’entrepreneuriat social a permis à ce jour la création de 3 réseaux de micro franchise  (234 emplois).    

 

L’ADIE emploie 496 salariés et a eu recours à 1 285 bénévoles; ces derniers consacrent en moyenne 37 jours par an (86% sont satisfaits de leur implication dans l’équipe ADIE). 77% des salariés et 35% des bénévoles ont bénéficié d’une formation en 2015. L’ADIE dispose de 117 antennes et de 360 permanences.  

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Deux modalités de financement offertes aux entreprises nouvelles : les business angels et le crowdfunding

En plus du financement, les Business Angels conseillent de jeunes entrepreneurs pour des choix stratégiques liés au management, à la gestion, au marketing et au développement commercial. Ils apportent un réseau de contacts et représentent une caution auprès d’autres investisseurs. Leur relation est caractérisée par une certaine proximité culturelle et cognitive ainsi qu’une proximité géographique. L’efficacité de l’accompagnement repose sur des rencontres physiques.

En 2014, les Business Angels ont permis par un effet de levier de multiplier par 3,4 le montant global investi, soit un total de 110M€. Avant d’investir, ils réalisent un audit approfondi pour apprécier le potentiel du projet, puis proposent un contrat précisant les modalités financières (actions préférentielles, obligations convertibles, conditions de mise à disposition des fonds en fonction de l’atteinte d’objectifs fixés, refinancement).

“Afin d’accompagner au mieux les entreprises, il est préférable que les Business Angels remplissent certains critères : avoir une expérience entrepreneuriale ainsi qu’une expérience dans le secteur industriel de l’entreprise, consacrer plus de 20 heures aux due diligences et accompagner activement les entreprises qu’ils soutiennent.”  

 

Les crowdfunders ont des expériences plus hétérogènes; la majorité adopte une attitude passive, alors que certains acquièrent un véritable statut d’expert de par leurs actes, avis et commentaires sur les plateformes . Ces soutiens actifs véhiculent des informations aux non-experts et valorisent les projets qu’ils soutiennent.  

Les crowdfunders s’inscrivent dans une logique financière alors que les internautes s’inscrivent dans une logique affective. Toutefois, comme pour les Business Angels, les motivations sociétales et altruistes peuvent les conduire à accepter un risque plus élevé ou un rendement plus faible. Les plateformes étudient et choisissent les projets en vue de leur financement; certaines plateformes font participer le internautes au processus de sélection (une forme de test pour mesurer l’intérêt des internautes pour les projet)s.

Après l’évaluation des projets, les plateformes utilisent des contrats standards, les supports d’investissement étant généralement des actions simples.  

 

Business Angels et crowdfunding sont donc deux solutions différentes avec leurs atouts et inconvénients

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Entre 2007 et 2015, 80% des emplois salariés supplémentaires sont le fait du tertiaire non marchand et des services aux entreprises

 

102 200 emplois salariés supplémentaires  ont été créés en 2015, portant leur nombre total à 17,960 millions, en hausse de 0,6% au regard de 2015 mais en baisse de 1,2% depuis 2007; les emplois supplémentaire sont d’abord le fait du tertiaire marchand (+123 000 salariés), dont l’intérim (+50,600 salariés), habituellement intégrés dans le tertiaire marchand, puis le tertiaire non marchand (+19 900 salariés), alors que la construction perd 35 500 salariés et l’industrie 37 800.

 

Noter que l’intérim (la moitié des emplois supplémentaires de 2015) est d’abord présent dans l’industrie (45% des emplois intérimaires totaux),  puis dans les services marchands (37%) et la construction (19%); l’industrie est aussi présente en 2015 dans les emplois supplémentaires que les services marchands (respectivement 45% et 38%).

Une approche plus fine de l’évolution des activités depuis 2007, détaillées par grand secteur, fait apparaître que les progressions en salariés sont par ordre décroissant :  le tertiaire non marchand (+223 000 salariés), les services aux entreprises (+180 000), les HCR (+73 000), les activités et d’assurance (+21 000) et les services aux personnes (+10 000), totalisant un apport de 507 000 salariés en plus ;  alors que l’industrie en détruisait 481 000, la construction 180 000, le commerce 31 000 (dont commerce de gros et courtage 55 000, commerce et réparation auto 31 000 alors que le commerce de détail apportait 56 000 salariés en plus); les transports détruisaient 24 000 emplois et l’immobilier 12 000, soit une destruction totale de 728 000 emplois.

Les activités informatiques ont été assez peu créatrices d’emploi depuis 2007 (15% des créations supplémentaires) , au même niveau que les HCR ou les activités administratives et de soutien aux entreprises, alors que les autres services aux entreprises créaient 139 000 emplois salariés.  

 

Noter aussi que l’intérim a perdu 61 000 emplois entre 2015 et 2007, tout comme les ménages employeurs (44 000); si ces derniers étaient exclus des services aux personnes (ce qui est le plus souvent le cas), les services aux personnes auraient crées 54 000 emplois (mais nombre de salariés de ce secteur sont regroupés dans le tertiaire marchand, au sein d’associations et non d’entreprises)

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